► « Tout d'abord, nous devons admettre que la personne déficiente mentale n'est pas pleinement responsable de ses comportements et n'a pas conscience de la complexité de sa propre vie sexuelle, ainsi que de celle d'autrui. [...] Il convient de développer dans ce domaine une éthique adaptée aux spécificités et aux limites des personnes concernées, éthique qui oblige à les accompagner dans certaines circonstances, parfois à décider à leur place » (cf. Michel MERCIER in Reliance n° 18